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En pleine panne de lecture, je reçois une offre de la part de
Suzanne, de
chez-les-filles.com, qui me propose un thriller mené tambour battant !
Chouette, enfin un livre qui va me secouer et me sortir de ce marasme, d'autant que la présentation de l'éditeur est très prometteuse :
À trente-quatre ans, Jim Vilatzer a l’impression que sa vie s’enlise dans la médiocrité. Employé dans le modeste delicatessen que ses parents d’origine juive russe ont ouvert dans une banlieue de Chicago, célibataire depuis un échec sentimental douloureux, pris à la gorge par des dettes de jeu qui le mettent à la merci de redoutables créanciers, il rêve d’un changement de décor. Lorsque son meilleur ami lui offre l’opportunité de repartir à zéro en Russie, terre de ses ancêtres, son instinct de joueur de poker lui ordonne de franchir le pas. Du jour au lendemain, le jeune Américain s’installe à Moscou, où il est embauché par la Fondation de la Mémoire. Sa mission : interviewer des survivants du goulag afin de conserver leur témoignage pour les générations futures. Petit à petit il se familiarise avec une ville inhospitalière qui ne ménage pas ses habitants, loin de se douter qu’en tombant amoureux de la belle Kaisa et en prenant contact avec d’anciens prisonniers, il sera mêlé à un complot d’envergure planétaire, ce que le gouvernement russe et la CIA ne verront pas d’un bon œil. Et malgré lui, il sera manipulé par les services secrets de l’Ambassade des États-Unis pour les aider à retrouver les criminels de haut vol.
Quelques jours plus tard, arrive une enveloppe dans ma boîte aux lettres. J'en sors un livre dont la couverture est très belle et pleine de mystère :
La ville insoumise de
Jon Fasman, publié aux éditions du Seuil, traduit de l'anglais par
Madeleine Nasalik.
Malheureusement, je n'ai pas du tout réussi à entrer dans cette histoire, peinant à lire quelques pages chaque soir, jusqu'à la page 74 où j'ai jeté l'éponge !
L'avis de
Lucie m'inciterait à reprendre cette lecture d'ici quelque temps.
En revanche, les billets recensés par
Michel, qui a abandonné, lui aussi, sont pour la plupart peu motivants.
Je remercie tout de même
Chez Les Filles et les
éditions du Seuil pour cet envoi. Sans doute n'était-ce pas le bon moment pour moi...
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