jeudi 29 avril 2010

Masse critique 8ème !

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La huitième édition de Masse Critique se prépare !

 Rendez-vous sur http://www.babelio.com/massecritique.php à partir du 5mai à 7h30 et choisissez un livre !
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dimanche 18 avril 2010

Arlington Park

Arlington Park - Rachel Cusk


Éditions de l'Olivier (2007) - Points Seuil (2008)
Traduit de l'anglais par Justine de Mazères


La pluie tombe sur Arlington Park, des trombes d'eau arrosent toute la nuit cette petite ville de la banlieue résidentielle londonienne.

Au fil des chapitres, nous suivons dans leurs occupations quotidiennes, Juliet, professeur dans le lycée de la ville, Louise, Christine, Amanda, Sally, Liz, Maisie, Stéphanie, Solly et Maggie. 
Elles se croisent en ville, vont dîner les unes chez les autres, accompagnées de leurs maris ou se rencontrent simplement entre elles l'après-midi. Elles se rendent en groupe au centre commercial de la ville voisine. Elles s'interrogent sur leurs existences, confrontent leurs rêves de jeunesse et leurs frustrations de femmes adultes et de mères de famille.

Ni roman ni recueil de nouvelles, ce livre installe petit à petit une atmosphère pesante dans cette banlieue favorisée, parmi ces femmes perdues dans leur quotidien sans surprises, bien loin du glamour et de la fantaisie des Desperate Housewives, auxquelles on pense à tort à la lecture de la quatrième de couverture.

A lire seulement quand le moral est au beau fixe, sous peine de déprime assurée !

L'avis de Nicolas, et d'autres liens chez Blog-o-Book
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lundi 5 avril 2010

Premier abandon 2010 !

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En pleine panne de lecture, je reçois une offre de la part de Suzanne, de chez-les-filles.com, qui me propose un thriller mené tambour battant !
Chouette, enfin un livre qui va me secouer et me sortir de ce marasme, d'autant que la présentation de l'éditeur est très prometteuse :
À trente-quatre ans, Jim Vilatzer a l’impression que sa vie s’enlise dans la médiocrité. Employé dans le modeste delicatessen que ses parents d’origine juive russe ont ouvert dans une banlieue de Chicago, célibataire depuis un échec sentimental douloureux, pris à la gorge par des dettes de jeu qui le mettent à la merci de redoutables créanciers, il rêve d’un changement de décor. Lorsque son meilleur ami lui offre l’opportunité de repartir à zéro en Russie, terre de ses ancêtres, son instinct de joueur de poker lui ordonne de franchir le pas. Du jour au lendemain, le jeune Américain s’installe à Moscou, où il est embauché par la Fondation de la Mémoire. Sa mission : interviewer des survivants du goulag afin de conserver leur témoignage pour les générations futures. Petit à petit il se familiarise avec une ville inhospitalière qui ne ménage pas ses habitants, loin de se douter qu’en tombant amoureux de la belle Kaisa et en prenant contact avec d’anciens prisonniers, il sera mêlé à un complot d’envergure planétaire, ce que le gouvernement russe et la CIA ne verront pas d’un bon œil. Et malgré lui, il sera manipulé par les services secrets de l’Ambassade des États-Unis pour les aider à retrouver les criminels de haut vol.
 

Quelques jours plus tard, arrive une enveloppe dans ma boîte aux lettres. J'en sors un livre dont la couverture est très belle et pleine de mystère :

La ville insoumise de Jon Fasman, publié aux éditions du Seuil, traduit de l'anglais par Madeleine Nasalik.

 

Malheureusement, je n'ai pas du tout réussi à entrer dans cette histoire, peinant à lire quelques pages chaque soir, jusqu'à la page 74 où j'ai jeté l'éponge !

L'avis de Lucie m'inciterait à reprendre cette lecture d'ici quelque temps.

En revanche, les billets recensés par Michel, qui a abandonné, lui aussi, sont pour la plupart peu motivants.


Je remercie tout de même Chez Les Filles et les éditions du Seuil pour cet envoi. Sans doute n'était-ce pas le bon moment pour moi...
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